Il y a quelque temps a sévi, selon les médecins, "un virus mystérieux". Il y avait des morts. Jardins d’enfants, écoles et des universités ont été fermés. Après, les médecins essayaient de diminuer la chose entière. Cette fois-ci il était en Grèce. Dans ce contexte "L’Organisation mondiale de la Santé" (OMS) a annoncé que dans un des hivers prochains, ce pourrait être aussi déjà le prochain, une "épidémie de grippe" avec 100 millions de gens morts (!) soit à craindre. Ce sont p. ex. 3/4 de la population de la France et de l’Allemagne tout ensemble. Et de nouveau ces morts devront être blâmés de leur mort ils-mêmes. Tel sera la version des médecins, par exemple en se référant à la soi-disant "défense diminuée", "l’immunodéficience" des patients tués, surtout dans les personnes âgées, dans les enfants, dans ceux-là qui sont affaiblis ou sous la tension causée par ceci et cela.

Aucun seul mot sur ce qu’a causé cette médicalment prétendue "défense diminuée" dans tous, aucun mot concernant la liaison suffisamment connue depuis longtemps d‘une "résistance diminuée" avec la radiation atomique, qui tous les vivants d’aujourd’hui ont dans leurs corps, commençant avec les lancements de bombe atomique américains sur Hiroshima et continuant avec des essais atomiques ne jamais vraiment arrêtés jusqu’aujourd’hui, dont il était dit déjà dans les années cinquante qu’ils "ont cassé le temps". Il ne s’agit pas du temps, mais des gens!

Et aucun mot de "L’Organisation mondiale de la Santé" (OMS) ou d'autres médecins au sujet de la contamination radioactive actuelle et quotidienne dans les Balkans, en Irak, en Afghanistan, et qui sait où autrement, causé par des bombes américaines avec un enrobage d’uranium. Le lancement de bombe là, la contamination nucléaire reste toutefois non seulement là, mais elle se déplace, tout à fait globalement, avec le vent et par tous les temps, partout. Il peut aussi donner à penser que 3 des 4 commandants les plus gradés de l'armée américaine en Europe sont des médecins beaucoup décorés, à savoir des soi-disant épidémiologues, spécialistes de la guerre iatrobiontique, c.à.d. specialisés dans causer d'épidémies. Pourquoi probablement?

• Aucun mot de l’OMS ou d’autres médecins dans ce contexte concernant la contamination radioactive quotidienne et en masse qui part des hôpitaux et des cabinets de consultation (ce qu’on appelle "radiothérapie") et qui occasionnellement conduit même à l’alarme de catastrophe, parce que des mesures indiquent un rayonnement maximal radioactif, qui ne vient pas d’un réacteur nucléaire, mais des eaux résiduaires d’un hôpital proche.
• Aucun mot de l’OMS ou d’autres médecins concernant l’air empoisonné, la soi-disant pollution de l’air. Les plus petites et les plus fines particules de la poussière et de saleté, arrivant via l'inhalation dans la voie de sang, provoquent dans le corps les mêmes réactions comme "bactéries, des virus et d’autres intrus … le système immunitaire du corps réagit", ainsi il peut être lu dans les rapports médicaux, présenté comme rapport de recherches et évidemment sans aucune conséquence pratique, sauf tuer. Quel est la différence entre une "épidémie de grippe avec virus" et une épidémie de saleté avec des particules de saleté, si pour le corps c’est la même chose? Pourquoi donc les appels à la "vaccination préventive de grippe" qui sont à attendre, si "le virus" consiste en fin de compte en rien autrement mais en l’ordure d’une économie qui est basée sur l'intérêt de profit, une ordure laquelle doit être avalée par tout le monde? Le nombre de personnes qui meurent en raison de la vaccination doivent être ajoutés au nombre de personnes qui meurent en raison de l’"épidémie de grippe", attendu par l’OMS. Ils sont inclus dans les plans médicaux, mais pas mentionnés. Et encore ce sont les médecins qui déterminent, contrôlent et répondent de la concentration la plus tolerée de substances toxiques, au lieu d’assurer que l’ordure et l’empoisonnement soient arrêtés immédiatement et assurer que les substances toxiques dangereuses soient faites disparaître pour jamais, pour lequel ils sont obligés à titre officiel, de serment et de leur position sociale, et ceci précisément de l’OMS et l'Association Médicale Mondiale jusqu’au médecin le plus arrière qui "ne pas se soucie de la politique", mais qui collabore, soutient et partage dans la politique médicale dominante.
• Aucun mot de l’OMS ou d’autres médecins concernant les "infections d’hôpital" ou "nosocomiales" (seulement en Allemagne plus de 800.000 patients tombent y malades chaque année et plus de 40.000 malades y meurent).
• Aucun mot de l’OMS ou d’autres médecins concernant les laboratoires, dans lesquels des médecins développent des armes biologiques. Ce n'est pas seulement le charbon (anthrax) récemment envoyé par lettre, qui vient des laboratoires médicaux américains.
• Aucun mot de l’OMS ou d’autres médecins concernant les antibiotiques, par lesquels les médecins tout d’abord ont créé et continuent à créer ces épidémies dont alors ils prétendent de les combattre avec les antibiotiques.
• Aucun mot de l’OMS ou d’autres médecins concernant les vaccinations. Il n’y en a aucune qui n’a pas conduit aux "agents pathogènes" encore plus résistants. Le soi-disant syndrome de la guerre du Golfe: des dommages les plus sévères aux soldats qui ont participé à la guerre, pas par la guerre militaire, mais par la multi-vaccination médicale précédente; et des malformations les plus graves chez les enfants engendrés et nés après la guerre. La guerre du Golfe n’a pas eu lieu sur les champs de bataille du Proche-Orient, mais la ligne de front courait entre les médecins et les patients, les derniers s’appelant des soldats dans ce cas – paradigme de toutes les guerres d’ici et d’aujourd’hui.

Qui a parlé pour la prémière fois de "les effets bénins de la terreur thérapeutique sur le corps du patient" était le médecin et psychiatre américain Benjamin Rush, un des parents de l’indépendance des Etats-Unis à la fin du siècle XVIII. Et Rush n’a pas parlé seulement mais celui-ci également a appliqué ce qu’il a prêché.

Entre-temps le conseiller du président américain, Francis Fukuyama, avertit de la "fin de l’homme" par la génétique. L’espoir du contrôle des bio-sciences sur la vie parlementaire? Même le Fukuyama si "simple qu’audacieux" (le journal ZEIT) semble d’être plutôt sceptique; à cet égard, son recours au "droit naturel" et une "nature de l'homme" semble d’ être plutôt maladroit. L’État et la politique ont capitulé depuis longtemps devant la pouvoir médical, la IATROCRATIE.

Si la politique devient la "biopolitique", il s’agit de la vie nue, avertit le philosophe italien Agamben. Le homo sacer n'est pas seulement saint mais il est également ‘hors la loi, c’est-à-dire chacun peut le tuer impunément. Le mot "biopolitique" (grec bios = vie) mets les faits dessus dessous. Partout où on parle de la "biopolitique", il s’agit de la politique du MORT, de la politique d’extermination. Soit-il par la soi-disant "politique démographique", soit-il par l’euthanazi ou par la génétique: du diagnostic pré-implantatoire* via le clonage jusqu’à l’homme génétiquement produit "sur mesure", qui doit soutenir tout cela et plus.

Jour et nuit beaucoup de gens deviennent des victimes par la guerre meurtrière iatrobiontique.

Combien de temps vous voulez souffrir tout cela, sans passer à l'offensive? La question, si vous voulez "continuer à vivre", cette question vous avez déjà répondue positivement en lisant ce texte. Mais vous vous êtes déjà demandés, si vous voulez continuer à vivre de cette façon? Décidez!

C’est ni une question des réformes, qui sont toujours rien d'autre que des mesures cosmétiques (Mißstandspolitik), ni d’améliorer la médecine. Cette médecine est le mieux, au mieux des conditions iatrocapitaliste. Ce n’est pas de plus une question d’un sauvetage de maladie, mais de la révolution en vertu de la maladie et celles-ci, la maladie et la révolution, ne sont pas une question d’opinion, mais elles sont ici, nous tous les avons en commun.

Le secret de la maladie c'est l’espèce humaine (MenschenGattung). Chacun est lié à la maladie particulière qui vise à la création de l’espèce humaine. Mais les médecins abusent et usurpent la maladie particulière (pathocentrisme) pour faire le substitut (!) d’espèce: l’argent – au lieu de l’espèce humaine. C’est une inversion et perversion génocidal. Donc les médecins avortent l’espèce humaine avant qu’elle existe.

L’automne 2002, FRONT DE PATIENTS / COLLECTIF SOCIALISTE DE PATIENTS, PF/SPK(H)

Traduction: Kiny, PF/SPK MFE
Rédaction finale: Huber
                         KRANKHEIT IM RECHT