Requête au Ministère de la Justice d’Autriche

M.T.L. de la O. y S. de V.

Mag. Phil. (Université de Séville)

Apartado de correos ( boîte postale) 7284

41005 Séville, Espagne

15.11.2005

Madame,

à cause de la urgence j’ecris directement à vous, Mme. la ministre de la Justice, pour que vous fassiez le nécessaire pour terminer immédiatement les attaques contre le Patient de Front Karl Schranz, SPK(Ö), – et vous-mêmes comme la ministre de la Justice vous pouvez faire ça d’office.

Il s’agit du Patient de Front Karl Schranz qui a différencié pour moi et mon contexte académique et non-académique l’image de l’Autriche et du quelqu’autre macro-empire (Grossreich) passé.

Grace à Patient de Front Karl Schranz pour nous l’Autriche n’est pas seulement

• le pays où milliers de patients étaient tués par des médecins il y a plus de 60 ans,
• le pays où les patients sont tués aujourd’hui par des médecins sous le signe de l’euthanasie et du thérapie,
• le pays où les patients qui demandent pour asile encore ces jours sont tués par des médecins, par exemple à la expulsion,
• le pays qui a provoqué la protestation et la répulsion à cause de Kurt Waldheim et Joerg Haider pas seulement dans l’Union Européenne, mais aussi dans les pays des Nations Unies,
• le pays où le médecin Heinrich Gross a practisé l’euthanasie contre des enfants et s’est glorifié de posséder la plus grande collection dans le monde des tissus sectionnés; comparable avec un assassin qui se flatte d’être dans le monde celui qui conserve dans ses congélateure coffre la plus grande collection des parts des cadavres, assassinés par lui-même.
• le pays où ces jours "Wiener Blut" sive "Spiegelgrund" est présenté dans le Volkstheater à Vienne, mais le médecin Heinrich Gross n’est pas demandé des comptes en justice, sous le prétexte de dementia senilis.

Allemands et Autrichiens, n’y joignez-vous pas encore une fois! Autrement le monde entier montrera vous du doigt encore en 60 ans.

De mon pays natal les sépharades persécutés ont cherché pour asile dans les autres pays européennes. Patient de Front Karl Schranz, Autrichien d’origine sépharade, handicapé physique à 80 %, il n‘est jamais fatigué d’être actif chaque jour dans les rues de Vienne et prendre parti pour la maladie et les patients et contre l’élimination euthanaziste. Avec son journal international Patientenstimme (Voix des Patients) dans les mains il discute avec des habitants et des touristes par tous les temps, par nuit et brouillard. De cette manière aussi moi j’ai fait la connaissance de Karl Schranz, par exemple par ses discours enregistrés et ses brochures qu’on m’a apporté. Aussi des Espagnoles étaient tués au camp de concentration de Mauthausen. Les qui ont survécu parlent sur cela encore aujourd’hui dans des écoles espagnoles. Aussi à la fête commémorative annuelle à Mauthausen Karl Schranz est fort actif depuis des années. Déja dans les années 90 Patient de Front Karl Schranz a fait une plainte en justice autrichienne contre le docteur Heinrich Gross. Comparez aussi le précurseur de Patientenstimme (Voix des Patients), le Linksspur (Trace de Gauche).

Nous avions expecté que le Patient de Front Karl Schranz reçeveraît des décorations de l’Autriche pour améliorer la réputation d’Autriche aussi pour des touristes étrangers du monde entier. Si le Patient de Front Karl Schranz aurait rejeté ces décorations – autrement que son oncle et héro national du ski du même nom (l’Olympiade de Tokyo, 1964) – on ne doit pas prendre cela en considération.

Repondez à mon adresse de la boîte postale, s’il vous plaît (voir en-tête).

Veuillez agréer, Madame, mes salutations distinguées,

M.T.L. de la O. y S. de V.

Mag. Phil. (Université de Séville)

Entretemps Karl Schranz, SPK(Ö) a rejeté avec succès tout psychiatre, disant le seul petit mot: Non!!, s’appuyant sur la loi mondiale que prohibe toute torture et toute application de violence executée par des médecins quelconques.
Pour le reste le persécuteur lui reproche d’avoir mentionné le nom Dr. Mengele (Auschwitz), quand il traversait un feu vert trop lentement. Un fonctionnaire lui avait recommendé l’amputation de ses jambes par un chirurgien, les remplaçant par des prothèses, pour pouvoir aller plus vite.