Qu'a que faire la force de la maladie avec des révolutionnaires de profession
avec ou sans guillemets?
PF/SPK(H)
KRANKHEIT IM RECHT
PATHOPRAKTIK MIT JURISTEN
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  Mannheim, 12 de Juin 1996
... Ce texte peut vous aider à marquer précisément la différence entre Patientenfront/Sozialistisches Patientenkollektiv(H), PF/SPK(H), et des groupes qui, par exemple, toujours "cherchent à allier le marxisme avec la psychanalyse" etc., mais qui n'ont rien à faire avec la maladie révolutionnaire, ne développant ce qu'ils appellent marxisme ni fracassant le mythe psychanalitique, qui n' est d'aucune façon révolutionnaire ni dans la moindre part ni avec sa intention, voir même Wilhelm Reich qui a prohibé attaquer la médecine, à part de Freud, Jung, Fromm, etc. Et les "antipsychiatres" toujours sont psychiatres comme Laing qui a toujours défendu son status d'être psychiatre, comme Szasz, célèbre "antipsychiatre", en nulle part contre la psychiatrie et encore moins contre la médecine, "luttant" pour la "liberté des fous (iatrocratistes)" ("Narrenfreiheit"), luttant en réalité contre la classe révolutionnaire des patients.

Un américain a écrit que PF/SPK(H) a écrit plus des livres et beaucoup de livres importants que les autres mais ce qu'ils ont écrit c'est ce qu'ils ont fait d'abord. C'est la différence. Les autres ont publié leurs livres contre la société, restant dans leurs cabinets et dans leurs professions, se plaignant de la société malade et pauvre, rendant malade et pauvre, mais seulement le PF/SPK(H) a fait la rupture en se libérant de cette société iatrocapitaliste, la laissant derrière soi et la jetant dans l'abîme, même si soit seulement quant à eux-mêmes, ne regardant ni droit ni gauche. Pour nous nos écritures restent l'outil pour garder ce que nous avons atteint et pour battre la classe gouvernante. Pour les lecteurs ce ne serait qu'un pitié d'en voir rien d'autre qu'une espèce de livre de lecture gauchiste. Ceux-ci qui préfèrent des livres de lecture peuvent se servir dans l'oeuvre de p.e. Jacques Lacan. La notre modestie est une telle, que nous ne voulons partager même avec ce célèbre psychanaliste et philosophe dans aucune manière et à aucun égard. Néanmoins: de mortuis nil, nisi bene, concernant la modestie.

De même l'américain a écrit que l'expérience de PF/SPK(H) a prouvé et démontré la manière d'exister collectivement pendant des décennies sans avoir besoin de s'occuper de "problèmes" comme la SIDA, des allergies, des grippes et de cancer, des fractures et d'autres choses semblables, car ce sont toutes formes de maladie auxquelles on peut s'adresser effectivement et efficacement hors de la médecine et hors de la thérapie. Les résultats de PF/SPK(H) sont capables d'établir une base solide pour tous les mouvements en résistance tandis que nul mouvement est complet ni mérit aucune crédibilité à part de cela, soit un mouvement soi-disant anti-raciste, anti-capitaliste ou anti-patriarcal.

Concernant le marxisme à développer ci-joint un résultat tout actuel, présenté par Vietnam et Cuba après avoir s'occupé avec notre thème. De notre avis même les experts du marxisme-léninisme ont nulle besoin du mythe psychanalitique, mais d'autant plus d'une nouvelle théorie révolutionnaire regardant la maladie des temps modernes existant même pour eux.

Pour combiner marxisme et psychanalyse on n'aura besoin que d'un auteur, d'un chercheur, il soit communiste, professeur, anarchiste, curé, femme ou homme. Après avoir fini son tel travail cet auteur pourrait facilement devenir le contraire, et même il pourrait changer son projet avant d'avoir commencé son travail. Mais en cas qu'il est patient, politisant sa maladie, tout marxisme, tout psychanalyse rencontrés par lui servent absolument rien, soit qu'il changerait son sexe par l'aide d'un chirurgien, soit qu'il changerait son opinion. Depuis le SPK il y a beaucoup des preuves qu'on risque une fois pour toutes tout (travail bourgeois, existence bourgeoise, liberté bourgeoise, paix, chances, tout); gagnant la libération collective de la merde iatrocapitaliste, une libération à récupérer perpétuellement jour et nuit. On peut perdre tous ces trucs, mais jamais une politique fondée sur la maladie. Même un journaliste médiocre de l'université de Heidelberg la dernière année s'est aperçu de cela, cherchant d'expliquer à ses jeunes lecteurs la cause du pourquoi les autorités ont tremblé tellement à cause du PF/SPK(H) de jadis, manquant de resoudre finalement et véritablement ce problème jusqu' à aujourd'hui. Le journaliste n'a pas oublié dans ce contexte de mentionner que les autorités déjà dans les Soixante-Dizaines ont eu à leur disposition tous les moyens pour combattre les anarchistes, les fascistes, les nazis, les marxistes-léninistes, les gauchistes et les droitiers de même que les démocrats radicalistes. Mais quant au SPK, quant à la maladie, cela était et reste à être une surprise de nulle manière bienvenue, à prévenir ni par des armes ni par d'argent, ni par des médicaments ni par des moyens thérapeutiques y inclus la génétique, la dernière faillissant à cause du concept de maladie (SPK-Krankheitsbegriff) que, suivant les règles d'une éthique médicale comme disait récemment un professeur pour éthique de l'université de Munich devrait être atteint (le concept de maladie) même par la génétique, mais personne ne sachant pour le moment comment faire même avec les moyens de la génétique plus développée. Quant à nous nous en avons marre avec toute éthique médicale, philosophique ou autre. Personne n'aurait jamais en dépendre. Pour cela: continuer ou commencer faire PF/SPK(H), iatroclasie!

Si ce texte ne sonne pas bien pour les oreilles françaises nous néanmoins sommes sûr qu'on peut comprendre le sens, étant aussi sûr qu'il existe celui-ci en chaque language à part de toute stupidité génétique et génocidale. ...

FORT DE MALADIE!
 
 

KRANKHEIT IM RECHT                                                                                         HUBER

P.S: S'il convient on peut se servir de cette lettre aussi en publique.