La classe de patients est l’attaque et le coup [Gegenwehr]; parce-que la machinerie d’ordinateurs gronde, sonne et elle fait des éclairs 24 heures sur 24. Les ordinateurs accumulent montants des milliards. Les maisons d’édition publient seulement après paiement d’avance, autrement pas du tout. Où? Les machineries d’ordinateurs: effacer, bloquer, défigurer. Pour cela ce qu’ils laissent passer un tribut est obligatoire comme pendant l’Antiquité, mais toujours entre $ 6 et, ce que sera le meilleur, $ 60 à l’organisation de coordination. Pour cela les tributaires vivent à crédit. Ils demandent des fonds pour des projets jusqu’à 1,8 millions, et ils les obtiendront ou les millions leur seront refusés. Atteindre cela moins cher, c’est pas possible.

Tout cela se passe entre les ordinateurs comme programme de travail et programme de loisir 24 heures sur 24. Tous veulent se surexploiter eux-mêmes comme s’ils recevraient la paie en échange. L’extermination au lieu de l’exploitation, l’extermination à la manière médicale et on voudrait bien avoir tout cela sans douleur. L’euthaNAZIsme, nous en disons, l’euthanasie différentielle nous en disions. Personne ne serait être payé jamais pour son travail, et celui qui n’exploite pas les autres s’exploite soi-même. La terre serait un outil du capitalisme (moyen de production); un jour la terre aurait pris un exanthème, on pourrait ajouter, le peuple qu‘existe [die Menschheit], et le peuple peut être fait disparaître par la mondialisation au moyen des ordinateurs [wegglobalisierbar durch Computer] (moyens de production, outil, déchaîné) – serait pour le moment le dernier Sieg HEIL (victoire à salut). La dictature binaire-digitale des ordinateurs c’est l’extermination aussi par l’hyper-exploitation et rien en entre, vu par la logique formelle et la logistique radicale, et l’exploitation comme sujet [Thema] est désactualisé par lá. Le repère d’étalonnage de chaque programme d’ordinateur possible et imaginable ne jamais peut pas porter un autre nom que: l’extermination. C’est une nouvelle variante dans l’impérialisme comme l’étape la plus haute du capitalisme. Déjà l’économie libérale a réalisé plus des morts que tous les guerres. Mais ça fut encore l’exploitation, c’est loin d’être – tout à fait banal et à la manière des machines à calculer – l’extermination, seulement une variante, un nouveau stade transitoire de la plus capitaliste, ancienne et futuriste monde-global-empereur-empiretterie [Globalweltkaiserlereichlerei] (l’impérialisme, l’impérialisme cérébral de l’art médical) [Jackerkunst-Hirnimperialismus].

De l’exploitation font partie au moins deux. Les machines se cassent par eux-mêmes, ce n’est pas profitable, mais ça fait dépenses.
A l’extermination appartient moins zéro (l’allongement de l’abscisse à gauche), rien d’autre.
Qu’est-ce que c’est ça, une identité? La réponse: Quand elle manque du force de la maladie, elle n’est pas du tout une identité. Qu’est-ce que c’est ça, la relativité? La réponse: Quand tout est relatif, la relativité est alors absolut, c’est-à-dire elle n‘est pas plus une relativité, donc elle est fichue. Fais cela comprendre à un calculateur, il ne l’apprend jamais! Pour son bonheur, il ne l’apprend pas, parce-qu’alors l’extermination est fichue. Pour son malheur, il ne l’apprend pas, parce-qu’alors il ne peut plus servir a rien, donc il est simplement fichu. A enregistrer des profits montants, il y a l’ordonnée. Des casaniers, des étudiants et des professeurs font partie de l’ordinariat, tout ordinaire. Aussi des perdants appartiennent a un profit passablement honnête. Dans le millénaire nouveau nous-mêmes nous n‘avons remarqué pas plus que trois personnes, qu’ils étaient coupées, pas de tout sur l’écran, mais simplement ainsi. Contre nous personne ne le fera impuni même pas sur l‘ écran une deuxième fois. Et nous avons de plus en plus rieurs de notre côté a cause de cela.

Les valeurs, la marchandise (le «matériel» et le «logiciel») et les outils. Et ce qu’aujourd’hui était l’extermination, comment pourrait-il avoir été l’exploitation alors? Bien sur on peut questionner les ordinateurs aussi pour cela. Mais c’est improbable qu’ils répondent. On peut questionner même les morts, sauf qu’ils ne repondent pas et si donc ça serait rien d’intelligent mais quelque chose mécanique, automatique et cela ne tombe pas si mal de les appeler des élémentals, des élémentals fractionnés, et pièce à pièce – tout comme les ordinateurs – ils font les démandeurs pas simplement malade en sense clinique, mais encore plus simple: fini [allemachen]. «Ectoplasmatiquement» ça commence dans les yeux, des parts du cerveau, avancées au dehors.

La santé est la santé. Est-ce que c’est dire la mème chose deux fois [doppelt gemoppelt] (tautologique)? La maladie est l’espèce. Lá, rien est dit deux fois, pas tautologique, mais lá c’est l’Autre [da ist das Anders]. La maladie est la non-maladie. Seulement ainsi elle est vraie, c’est-à-dire maladie en mouvement, dans l’Autre, dans le changement. Les ordinateurs sont des meubles ou plutôt des immeubles (movere = mouvoir). Lá dedans absolument rien se meut. Au contraire la maladie appartient au mobilier le plus ancien de l’espèce humaine. Elle repousse les ordinateurs et elle est repoussée elle-même par eux, c’est simplement repoussant. Encore une fois: la maladie est la non-maladie, c’est-à-dire l’espèce. La santé est justement la santé et rien d‘autre, parce-que serait-elle quelque chose différente alors elle ne serait pas santé, et l’espèce en tout dernier lieu; valeur indicative [Richtwert] s’appelle cette chose étrange (= la santé); parce-que, assez traîteusement, l’intelligence des ordinateurs en juge, et non peut-être en personne, mais techniquement par ordinateur, et cela ne seulement depuis aujourd’hui. Des textes de la maladie l’ordinateur doit propager, reproduire et retenir. Depuis des années nous savons sans doute que personne ne cherche des textes de la santé chez nous pas plus long. La diapathique est justement plus vite comme les ordinateurs y compris ses ordinateuristes mis à l’extermination par eux-mêmes. A nous ils ne causent pas du dommage, les ordinateurs. Cela voudrait dire de ne pas voir les moyens iatrocidaires. Mais chez faire et réussir en vertu d’être malade (Tun und Gluecken kraft Kranksein) mêmes ils sont de la partie eux-mêmes.

Non, nous n’avon pas besoin des briseurs de machines. Mais des hackers encore moins que des jackers (les médecins).

(Arschzt mihi lex = die Kunst ist mir Gesetz).

Celui qui dénonce les coupeurs va perdre un timbre.
Celui qui coupe les dénonceurs va recevoir à vie [lebenslaenglich].

PF/SPK(H), 10 avril, 2005

KRRIM – éditions Front de Patients pro maladie