La santé* est contre tous à l'exception de la classe dominante, à savoir: la classe dominante des médecins.
La santé n'existe pas. La « santé » est un fantasme biologistique-nazi.
Extrait d'une plainte
* Beaucoup de gens veulent pouvoir relire et étudier nos arguments au sujet
de la santé dans notre journal électronique.
À la question, si les passeports iatrométriques sont utiles et infalsifiables,
nous pouvons seulement répondre à l'avance, que nous aurons à proposer comme la
seule preuve sûre le premier qui quitte sans objection, ensemble avec un
meurtrier en série régnant, à savoir un meurtrier de patients, le crématoire de
la classe dominante des médecins.
An die Staatsanwaltschaft / (Au ministère public)
beim / au
Landgericht / (tribunal de grande instance)
Straße / rue …
Stadt / ville …
Mannheim, Datum / date
Par la présente, je porte
plainte
et je dépose
réquisitoire
contre
Mme. Dr. Dorothee GREMLIZA comme éditrice et gérante d'édition KLV Konkret Literatur Verlags GmbH (adresse) et
M. Jens Mecklenburg comme éditeur
pour toutes les raisons juridiques,
en particulier à cause de calomnie (Ueble Nachrede), de diffamation (Verleumdung), de soupçon faux (Falsche Verdaechtigung), des propos publics incendiaires (Volksverhetzung) et de la crétinisation de masse (Volksverdummung), d'après les §§ 186, 187, 130, 164 II et suivants du Code Pénal allemand.
I
(…)
Les inculpés ont agi de mauvaise foi et tout en sachant le contraire, quand ils ont prétendu dans leur ouvrage imprimé, contraire à la vérité et à la manière des propos publics incendiaires (Volksverhetzung) et de la crétinisation de masse (Volksverdummung), que le but du SPK est « la ‹guérison› les gens ».
« La SANTÉ est un fantasme (Hirngespinst) biologistique-nazi … », telle fut la constatation explicite du SPK dès ses tout premiers jours jusqu'aujourd'hui, à relire aussi dans l'ouvrage SPK – Faire de la maladie une arme (KRRIM – PF-Editeur pour la Maladie) et exactement cette publication du SPK dont le titre en même temps est tout un programme : SPK – Faire de la maladie une arme est citée dans l'ouvrage des inculpés comme source utilisée par eux dans leur bibliographie. Donc, les inculpés savaient à l'aide des sources au sujet du SPK, utilisée et citée par eux, qu'ils ont agi tout en sachant le contraire.
Dans une mauvaise intention et hostile envers des patients, cette assertion fausse des inculpés donc attaque une détermination centrale du SPK, c'est-à-dire le refus, sans admettre aucun compromis, de la « santé », « santé » comme une expression de combat du côté de la politique de SALUT-santé (HEIL), de tout temps le prétexte pour l'homicide des patients.
C'était exactement ce refus de la « santé », qui fut constaté par le tribunal spécial de Karlsruhe en 1972, donc d’une objectivité judiciaire, comme substance et contenu central du SPK ! Le tribunal spécial s'est référé expressément au premier Patienten-Info du SPK : « Enfouissons-nous une fois pour toutes l'espoir puéril de la ‹santé› ! … » (Patienten-Info N° 1, dans : Dokumentation zum Sozialistischen Patientenkollektiv, I ; cf. aussi le livre en anglais : SPK – Krankheit im Recht, KRRIM – PF-Editeur pour la Maladie).
Donc aussi dans l’optique de l’objectivité judiciaire – et il s'agit des choses juridiques dans le cas présent – le refus de la « santé » et l’avis favorable sur la maladie comme un fait révolutionnaire à réaliser, c'est un des contenus centraux de la théorie et de la pratique du SPK. C'était bien connu aux inculpés quand ils faisaient intentionnellement l'assertion fausse que le SPK veuille « ‹guérir› les gens » et restituer leur « santé ».
Il ne passe pas même par la tête des médecins qu'il y ait aussi une seule « personne en bonne santé ». Celui qui croit qu'il est « sain », il se trompe. Celui qui feint de se sentir « sain », comme Dr. Feelgood, transforme l’aggravation d’autrui en désespoir et suicide. En tout cas, il profite de la folie et toute explication de cette question lui manque. Celui qui va, par exemple, de sa propre initiative chez le psychiatre pour se laisser certifier sa « santé mentale » il s’est trahi par cela, vu dans l’optique médicale et psychiatrique: seulement des malades veulent se laisser certifier leur « santé ». Le médecin, et soit-il par exemple l'orthopédiste, trouve toujours quelque chose, et grâce aux techniques diagnostiques modernes encore plus. À plus forte raison, selon les généticiens chaque personne est malade sans exception et affligée des « anomalies génétiques », et à la ronde il n’y a pas de « santé ». Cela tombe bien aux médecins. Car tout le monde sait qu’on cherche toujours justement ce qu'on ne possède pas. Ainsi, la « santé » sert aux médecins de « principe espoir » (Prinzip Hoffnung) afin de fidéliser les patients, mais également afin d’exiger des milliards d’euros pour la recherche, pour continuer à tirer profit de la maladie. Ce n'est pas sans raison qu'entre-temps le soi-disant complexe médico-industriel est « the world's biggest business » (The Economist).
Seulement les médecins, leurs aides et leurs complices profitent de l'espoir illusoire en la « santé ». Les patients en meurent. D’insinuer au Collectif Socialiste de Patients qu'il eût fait de la propagande pour le fétiche médical de « guérir » (de restituer la « santé » des gens) est une diffamation punissable (Verleumdung), de propos publics incendiaires (Volksverhetzung) et une crétinisation de masse (Volksverdummung) !
Les inculpés publient et éditent aussi des livres sur les nazis. Pour cette raison ils savent que leurs expressions « guérir » et « santé », qu'ils ont attribué faussement au SPK, sont extrêmement chargées et conditionnées non seulement historiquement mais aussi politiquement, elles sont nazies. C’est un fait historique indéniable, rendu public pour la première fois par le SPK déjà en 1970/71 et entre-temps il fait partie des connaissances générales, que la tuerie en masse des patients pendant le soi-disant Troisième Reich – au moins des 275.000 patients assassinés – était perpétrée par les médecins au nom de « la santé ». La tuerie en masse des patients n'était pas l’œuvre des nazis mais plutôt l’œuvre des médecins qui trouvaient en Allemagne nazie les conditions appropriées à mettre en pratique l'extermination des patients envisagée et préparée idéologiquement dès le XIXe siècle, à savoir au nom de « la santé ». Avec le terme propagandiste « santé » ils ont préparé le terrain pour l'anéantissement prévu et prémédité des patients. Et aussi les juives etaient combattus et tués en qualité des patients, par exemple comme « ulcère cancéreux du corps de peuple » (« Krebsgeschwuer am Volkskoerper »). D'autre part il y avait des juifs qui n'étaient pas persécutés, s’ils avaient du sang « bon », « sain ». Donc par exemple dans le soi-disant « Lebensborn » (« puits de la vie ») des juives (!) ont été rendue enceinte par des hommes des S.S. afin de faire des enfants bons, « sains ». Donc uniquement ce que les médecins ont défini comme « santé » était le critère sélectif pour avoir le droit de vivre et pour devoir mourir.
Hitler n'était que l'exécuteur et le plus élevé valet du bourreau de cette idéologie, qui était courante et familière comme idéologie thérapeutique dans leur rage contre toute « vie inférieure et sans valeur » du monde (lebensunwertes Leben) et qui était familière non seulement aux Allemands longtemps avant l'ère nazie. Et aussi des soi-disant partis de gauche dans le parlement prussien et le Reichstag ont présenté des projets de loi correspondants longtemps avant 1933. Et pas seulement en Allemagne mais aussi dans la Scandinavie, la France et la Suisse et d'autres pays, des patients étaient assassinés aux hôpitaux psychiatriques (HEILanstalten). L'idéologie médicale internationale de « la santé » avait préparé depuis longtemps le terrain pour l'assassinat des centaines de milliers de patients. Le corps médical a fait des calculs publiques, combien de frais entraînerait d’entretenir la vie des patients pour la « communauté nationale » (Volksgemeinschaft) et soulignait le danger des patients pour la « santé du peuple » (Volksgesundheit), d’après la devise : « Erstens sind sie teuer, und zweitens Ungeheuer. » (Premièrement ils sont chérs et deuxièmement des monstres.) Du cri de guerre propagandiste « Santé » (« Salut ! » – Sieg HEIL) résultait l’assassinat comme thérapie.
Les parallèles avec aujourd'hui sautent aux yeux. D'ailleurs aussi dans le programme du parti des Verts d'aujourd'hui. Aussi actuellement les médecins poursuivent une propagande politique permanente extrêmement agressive pour la Santé-SSalut (HEILspolitische Dauerpropaganda). De nouveau ils diffusent et colportent des calculs dans lesquels les patients sont présentés avant tout comme « facteur de coûts » qui doit être « réduit » parce qu’autrement l'économie nationale se ruinerait sous les coûts de la maladie. La vie des individus est chiffrée statistiquement, transformée en un bilan économique, évaluée et dévaluée par des analyses coûts-profits. Los nombres se transforment en surnuméraires : la « vie inférieure et sans valeur » (lebensunwertes Leben), aujourd'hui comme autrefois. Mettre au premier plan des points de vue de la rentabilité en ce qui concerne la maladie, signifie finalement : euthanasie forcée (euthaNAZIe). Aujourd'hui l'un, demain l'autre. Aussi cela passera inaperçu. Pour que le compte soit exact, on décide qui est-ce qui peut vivre et qui doit mourir. Mais celui qui en même temps ne voit pas la classe dominante des médecins, votre médecin de famille inclus, s’est trompé dans ses calculs. C'est le médecin qui décide et sélectionne, c’est lui qui a le droit de vie et de mort, à la rampe d’Auschwitz et là, où il est question de nombres « sains » ou de surnuméraires malades.
Le fait est que « la santé » n'existe pas et ne peut pas exister et bien nullement sous des conditions sociales qui rendent chacun malade, ou plutôt : sous des conditions socialement « génétiques ». Aucun médecin ne peut guérir. Chaque malade un reproche et un signe de l'impuissance des médecins. Aussi, pour cela les médecins se sont réjouis vivement de Hitler : ils pouvaient enfin « rendre sain » efficacement les patients, c'est-à-dire : les tuer. Parce-que celui qui ne peut pas guérir, doit apprendre à tuer au moins. « Rendre sain » (c’est le choix des mots des inculpés) signifiait et signifie homicide du côté des médecins, quelle que soit le prétexte. « Rendre sain » est rendre mort, « la santé » est la carte blanche pour l'homicide. Il faut seulement être médecin. Les historiens de l'ancienne Rome le savent (Plinius Secundus: « Le médecin est le seul qui peut tuer impunément ») aussi bien que des guérilleros sud-américains (Dr méd. Che Guevara à son père (architecte) : « Réfléchis encore une fois sur tes reproches contre moi : Place une plaque de médecin sur la façade de ta maison et tu peux tuer qui que ce soit. Rien ne va t’arriver. Car ton prénom est Ernesto, comme le mien. »). Et dans une affaire récente de meurtre qui était refusé par la Cour fédérale en Allemagne, une infirmière a été condamnée seulement parce qu’elle avait tué une patiente sans être médecin : Le médecin est autorisé (sic!) d’abréger la vie (!!) tandis qu'une infirmière commet un délit. « L'accusée s'est arrogée des compétences qui sont réservées au médecin » (Landgericht Nuremberg, Tribunal de grande instance). Si en outre le tribunal prend en considération, comme circonstance atténuante, « la compassion » de la coupable avec la patiente tuée et que la mort forcée eût été une grâce pour la tuée, alors, cette propagande euthaNAZIste n’est pas seulement un écho des temps passés, mais aussi la chanson de la mort d’aujourd'hui.
On doit ajouter aussi le suivant à ce sujet : Celui qui a accompli soixante ans reçoit la visite du médecin de famille qui lui propose de décéder prochainement. Il lui dit que, après tout, le patient a soixante ans, qu’il est en mauvaise « santé » , et qu’il a toutes sortes de problèmes et qu’il grève le budget de la communauté sociale des frais qui seraient évitables s'il décédait prochainement. Cela ne concerne pas seulement la Hollande, à laquelle se réfère le précédent, et où entre-temps à l'instigation des médecins il est permit par la loi de tuer comme médecin, et des mineurs peuvent « donner son consentement » légalement valide à l'euthaNAZI proposée par les médecins sans l'assentiment de leurs parents. Si quelqu'un vit dans un hospice ou une maison de retraite, que ce soit à la Hollande ou quelque part ailleurs, c’est encore plus simple pour les médecins. En ajoutant du poison dans les repas quotidiens ils atteignent vite leur objectif de tuer. En raison de cet homicide systématisé, l'espérance de vie pour les âgés dans les hospices entre-temps « s’élève seulement à quelques heures » (Medical Economics, 7.3.1988). Aussi dans notre pays l'euthaNAZI est une pratique médicale courante depuis longtemps, même si pas toujours d’une manière aussi franche et expresse qu'à la Hollande. Ce qui s'appelle « thérapie » ou « traitement curatif » (HEILbehandlung), et soit- il l’homicide, est défini et déterminé dans tous les cas par le médecin. Son omnipotence, qui dirige et programme aussi les bases économiques du système – aujourd'hui citée souvent comme « éthique » ou même « éco-éthique » (ainsi toute économie existante réelle, sans exception une économie capitaliste !) –, consiste à ne pas être limitée par aucun savoir, surtout pas par aucun savoir médical, alors que le progrès de la médecine en ce qui concerne ses recherches fondamentales de la vérité consiste à progresser d'une erreur à l'autre avec un rhythme de trois ans (XY magazine, No. 14 de 5.4.1999) – prêt à progresser et passer sur des cadavres en tout cas, doit-on ajouter.
Si le monsieur procureur général, au choix une madame procureur général, manque d'imagination, possiblement dû à sa formation ou ses fonctions, voilà quelques explications sur la virulence totalitaire-dictatoriale de l’idéologie médicale de « la santé », ici dans le domaine de la justice : Déclarer folle une mère et l’hospitaliser par force dans un hôpital psychiatrique, parce qu’elle veut porter toutefois jusqu'à terme son enfant éventuellement malade ? Obtenir l'accord à l'avortement de son tuteur ? Déclarer fou un patient en adjoignant un psychiatre, un patient qui refuse des mesures diagnostiques et thérapeutiques « recommandées » c'est-à-dire ordonnées par un médecin, remplacer son accord manquant par celui d'un tuteur, ou après l'exécution de la thérapie forcée juste encore l’hospitaliser par force à cause de « constituer un danger pour soi-même » ? Ou même mettre un patient sous tutelle à cause de « constituer un danger pour autrui » , quand il refuse le prélèvement de ses organes, qui seulement par des machines peuvent être maintenus appropiés à une transplantation, car d'autres personnes sur la « liste d'attente » pourraient éventuellement mourir tôt ou tard sans transplantation. Cette énumération pourrait être continuée à volonté.
Dans tous les exemples mentionnés ci-dessus il s'agit exactement du même « rendre sain » thérapeutique, que les inculpés ont attribué d’une manière démagogue et tout en sachant le contraire au SPK comme but visé.
En cas du Collectif Socialiste de PATIENTS il s'agissait et il s'agit de la libération de la maladie et la lutte contre toute thérapie médicale et toute extermination (cf. collectif de guerre de la maladie, Krankheitskriegskollektiv). Attribuer au Collectif Socialiste de PATIENTS qu'il avait fait de la propagande pour le fétiche médical de « la santé », c’est comparable avec l'affirmation que l'État d'Israël fut fondé par les S.S. et qu’il fut le refuge pour les S.S. et que Heinrich Himmler fut le premier citoyen d'honneur.
Contre l'affirmation d'un « mensonge d'Auschwitz » sont engagées des poursuite pénales. Comme attendus du côté de la justice on fait remarquer que la moquerie des victimes doit être combattue avec les moyens du droit pénal, une moquerie qui consiste à prétendre qu'il n'y avait pas des victimes ou plutôt qu’il n'y avait pas des juifs assassinés. Des millions d'assassinés sont littéralement volatilisés, ils n'existent pas, ils n'ont jamais existé. De cette façon les assassinés sont assassinés une deuxième fois, ils sont exterminés définitivement. Cette fois par le moyen de la langue, par le moyen des mots. En tout cas c'est la teneur de la justice et de la presse.
De même qu’avec l'affirmation d'un « mensonge d'Auschwitz », les massacres d'Auschwitz sont éliminés par le moyen de la langue, les inculpés Mme. Dr. Gremliza et M. Mecklenburg ont éliminé dans leur livre les patients et la maladie par le moyen de la langue. L'éditeur, selon le texte de présentation du livre cité, est parfaitement familier avec le nazisme (d’une façon critique bien sûr, aussi longtemps qu'on peut gagner encore beaucoup d’argent de cette manière), et il semble avoir tiré bien la leçon de cela en ce qui concerne l’élimination par la langue. Il élimine la maladie et les patients déjà sur le papier. Il essaye d'ensevelir le Collectif Socialiste de Patients sous les déchets de langue médicales (« sain », « groupe d'entraide »), et le patient, ce sale mot, avec un semblant de juif (dies' Wort, dies' boese, mit seinem juedisch-grellen Schein) n’a pas même le droit d’exister sur le papier. Et cela dans le contexte Collectif Socialiste de PATIENTS ! Cette manière de passer la maladie et les patients sous silence mortel (seulement silence mortel ?) est motivée nettement par des considérations politiques en faveur du salut-santé (HEILspolitik). Les limites de la liberté d'expression sont dépassées depuis longtemps, il s'agit évidemment des assertions fausses.
Comme aggravation de la peine, le suivant vient s’ajouter : avec le titre « glossaire des faits » l'éditeur donne aux assertions fausses, qui sont distribuées par lui-même, l’apparence d’être des faits établis et bien documentés. Mais il n’en reste pas là : avec une surestimation de soi, d’une manière psychiatriquement suspecte, il fait l’éloge de ses élucubrations en outre comme un « ouvrage de référence de la plus récente histoire contemporaine allemande encore persistante ». Ce serait ridicule si ce n'était pas trop sérieux. Avec ses assertions fausses, l'éditeur vise donc des effets politiques et cela pour le SALUT-santé des conditions sclérosées. À juger par son effet c’est un livre avec des intentions homicides et dirigé contre tous les malades qui sont aujourd'hui à la merci d’un système de profit iatrocapitaliste d’une manière aussi inconsciente et désorientée qu’autrefois les premiers travailleurs de l'industrie étaient à la merci de leurs employeurs et patrons dans le capitalisme de Manchester.
Tout ça énormément exagéré et en outre des sujets politiques et non du droit pénal, pense-t-il Monsieur le procureur ? Et alors cela ne le concerne pas comme juriste ? Erreur ! Comme mentionné au début, il ne s'agit pas du tout des questions idéologiques et politiques, qui pourraient être représentées par l'inculpé d'une façon ou d'autre, mais il s'agit des faits déterminés dans le sens juridique, des faits que les inculpés connaissent et connaissaient et ils savaient qu'ils font des assertions fausses qui vont à l’encontre des faits bien connus. Voilà un cas pour le procureur !
Les inculpés ont agi sciemment et de mauvaise foi. Leur punition est absolument necessaire, non seulement pour des raisons de la prévention individuelle, mais aussi sous le point de vue de la prévention générale.
II
Il ne fait aucun doute, que les assertions sur le SPK, qui sont distribuées par les inculpés, sont fausses. Il ne fait également aucun doute, qu'il ne s'agit pas non plus des assertions fausses soi-disant « neutres » (cf. loi sur la presse). Tout au contraire : les inculpés ont commis les délits pénaux de diffamation (ueble Nachrede), de calomnie (Verleumdung), de fausse suspicion ( falsche Verdaechtigung), d'excitation à la haine (Volksverhetzung) et de la crétinisation de masse (Volksverdummung). De cette façon, les intérêts dignes de protection non seulement des signataires sont violés, mais aussi ceux d'une multiplicité de personnes, non seulement ceux des patients du SPK, du SPK/PF(H) et du SPK/PF(EMF), mais aussi les intérêts de tous les autres patients qui y vont. Le principe d'expansion du SPK/PF s'appelle et est, comme dès lors, Expansionnisme Multi-Focal (EMF) (Multi-Fokaler Expansionismus, MFE). Il existe, par exemple, le SPK/PF(EMF) Autriche, même les EMF Grèce, Espagne, Colombie et plusieurs d'autres. Eux tous, et tous qui viennent chez eux, sont violés par les assertions fausses incriminées concernant le SPK.
En particulier on doit parler, dans ce contexte du SPK/PF(H), KRANKHEIT IM RECHT (Maladie dans son droit), PATHOPRAKTIK MIT JURISTEN (pathopractique aves des juristes), connu pour être actif en continuité du SPK et pour être le seul endroit autorisé à donner des informations authentiques sur le SPK. Celui qui va à KRANKHEIT IM RECHT – souvent la dernière station après l’échec de toutes les autres – a pris une décision préliminaire qu'il ne veut ni de thérapie ni d’autre traitement médical, exactement comme ceux qui venaient chez le SPK en 1970/71 et qui s'étaient décidés avant. Comme déjà au SPK, aussi dans ce cas ils y viennent des gens de tous les milieux et de toutes les branches de la population. Non seulement de toute l'Allemagne mais du monde entier, beaucoup de gens se dirigent à KRANKHEIT IM RECHT. On peut s'en informer d’un seul regard dans la revue des actions de KRANKHEIT IM RECHT d’une semaine quelconque, par exemple en février 1993. KRANKHEIT IM RECHT : ce n’est pas un groupe d'entraide, ce n’est pas une alliance pour la défense des patients, pas une maison de refuge (Weglaufhaus), ce n’est pas un groupe d‘euthanasie, pas une association des droits de l'homme-maître supérieur (Herrenmenschenrechtsverein, ONG), mais bien au contraire: zone pour et en faveur de la maladie. La protestation des gens qui viennent est activée pour faire des actions efficaces contre les médecins, pour mettre la maladie dans le droit, mais non seulement pour obtenir « justice », mais bien au contraire: pour créer et constituer le droit par et sur la base de la maladie (Rechtsetzung durch Krankheit).
Il est incontestable que la maladie est en augmentation. Les médecins en profitent. Au terreur de SALUT&Thérapie, qui vient du corps médical comme classe dans son ensemble, peut s’opposer activement d’une façon eficace seulement un front de patients en faveur de la maladie. Alors, cela regarde et concerne tous et depuis longtemps pas seulement le SPK, SPK/PF(H).
Qui d'autre peut sérieusement objecter quelque chose aux exploitations des banques d'organes, à la propagande contre les malades et à la chasse aux malades, à l'élevage de l'homme-maître supérieur (Herrenmensch), à l'euthaNAZIe (de l'avortement et éteindre par exemple le respirateur jusqu'au homicide actif), tant qu'il croira en le fantasme de la « santé » et tombe dans le piège de la promesse de salut-santé (HEILsversprechen) et de la fixation sur la « santé »?!
Le patient, cherchant protection et appui dans cette guerre des médecins contre les patients, où doit-il s'adresser, sinon au SPK/PF(H) ? Aux syndicats ? Les syndicats s'intéressent à lui seulement après le rétablissement de sa capacité de travailler, mais non comme patient. À la politique ? À la coalition de tous les partis, à ce parti de la « santé » : à ce « bras légal » (Journal XY) du corps médical, qui, selon cette diction, est une organisation terroriste, une armée clandestine illégale ? Ou à l'Èglise ? Bien sûr : « La nécessité enseigne la prière » mais la douleur et le désespoir conduisent bien plutôt dans la clinique que dans l'église. Aux Kurdes, qui sont menacés d'expulsion, on les donne bien des fois accueuil de réfugiés dans une église (Kirchenasyl), mais est-ce qu'il y avait jamais cette protection pour des patients menacés d’être internés dans un hôpital psychiatrique (Irrenanstalt) par exemple ?
Uniquement le Collectif Socialiste de Patients et tous ceux qui s'y réfèrent font front dès le début au SALUT&Thérapie et se sont référés positivement à la maladie.
Par conséquent les assertions fausses des inculpés ne violent pas seulement les intérêts vitaux de tous ceux qui ont travaillé dans ou avec le SPK/PF(H), mais en particulier elles sont susceptibles de désorienter et d’induir en erreur tous ceux qui cherchent soutien contre la violence médicale du HEIL. Des tentatives d’induire en erreur, bien qu’elles soient anodines contrairement au cas présent, sont poursuites juridiquement, souvent à la moindre occasion.
(…)
Parce qu'il prête à confusion, la publicité mensongère et le fraude sur les etiquettes sont interdites dans la vie commerciale. Aussi ici le commerce, les affaires jouent un rôle décisif, à savoir de la part des inculpés ; de la part des patients, il s'agit d'une question de vie ou de mort. Par le réétiquetage du SPK de la part des inculpés, susceptible de confusión, en transformant un collectif guerrier de la maladie en une autre marchandise sur le marché des groupuscules de la « santé » (« … guérir les gens »), les inculpés, le Dr. Mme. Gremliza et M. Mecklenburg, exercent le commerce des ennemis de la maladie. Avec cette publication, ils donnent au public l'impression erronée que le SPK appartient aux adeptes de la « santé » et – une autre assertion fausse qui est connue chez les tribunaux – que le SPK était « interdit ». « Sain » et « interdit » , en conséquence : mort. Cela les arrangerait bien, à ces écrivains salariés, et l’approbation de la part des médecins, pour mieux dire: leur impulsation, est sûre, aussi sûr que l'enfer, très concrète-ment (KONKRET). Cette double stratégie de désorientation et d'intimidation, en fin de compte inefficace, contre la maladie et la pathopratique, vise, au moins sur le papier, à denier au SPK le droit à l'existence. En plus, ce n’est pas le moindre des préjudices que les inculpés causent à tous (les patients), le préjudice d’abréger leur vie, de tous ceux (patients !), qui sont terrorisés et soumis à la thérapie par cette stratégie, et à qui les est difficile de surmonter leurs inhibitions, quand ils souhaitent prendre contact avec le SPK/PF, souvent leur dernier espoir, leur ultima ratio. Le patient isolé est livré à sa resignation, il ne lui reste plus que son désespoir -- les inculpés le lisent dans les journaux au petit déjeuner et ils croient que ça n’a rien à voir avec eux. C'est le devoir du procureur de détromper les inculpés de la maison d'édition KONKRET en ce qui concerne la question de la culpabilité conformément au droit pénal, et en ce qui concerne le préjudice par leurs assertions fausses et trompeuses sur le SPK, préjudice porté à beaucoup de gens et à leurs interêts vitaux, pas seulement à la signataire et aux patients du SPK, SPK/PF(H) et SPK/PF(MFE), mais aussi à tous les autres patients qui prennent contact à eux ou – selon les intentions des inculpés – qui sont empêchés de venir chez eux.
Substanciellement, il s'agit d'une guerre permanente et mondiale du côté de « l'armée blanche » (le corps médical) contre les patients, une guerre non déclarée ouvertement, de laquelle les patients, en grande partie, n’en ont pas encore conscience. « Puisque le patient habituellement a confiance en son médecin , il est rare que le patient singulier-individuel ait conscience de cette armée blanche … Cette armée est échelonnée profondément et recrute sans cesse de nouveaux complices ... Il n'ya pas de paix sur ce front, jamais … L'irrationalité, la superstition, l'arrogance maniaque, même des idées délirantes sont des parties intégrantes du système de santé ... Nombreux articles et paragraphes de lois simplement ne sont pas respectés par le complexe médico-industriel, d'autres sont sapés et annulés, d'autres contournés », tout cela a sauté aux yeux même du XY Magazine (34/1988).
Par conséquent, les inculpés sont à mettre en accusation pour toutes les raisons juridiques. Les inculpés savaient qu'ils agissaient sciemment et tout en sachant le contraire. Comme indiqué ci-dessus, ils ont reçu une mise en demeure (Abmahnung) à plusieurs reprises, par téléphone et par écrit, afin qu’ils s'abstiennent de leurs calomnies.
Comme les inculpés ont commis leurs délits pénales en public par la distribution de leur publication, une peine de prison jusqu’à 5 ans est prévue selon le code pénal.
Veuillez accuser, le ministère public, réception de cette plainte et me communiquer le nom du responsable du dossier ainsi que le numéro de référence.
— signature —
SANTÉ est contre tous, à l'exception de la classe dominante, la classe médicale elle-même.
La santé n'existe pas. La « santé » est un fantasme biologistique-nazistique.
Celui qui feint de se sentir « sain », comme Dr. Feelgood, transforme l’aggravation d’autrui en désespoir et suicide. En tout cas, il profite de la folie et toute explication de cette question lui manque.
Traduction: | Ynik, PF/SPK MFE; EMF Espa |
Rédaction finale: |
Huber KRANKHEIT IM RECHT |
FRONT DE PATIENTS / COLLECTIF SOCIALISTE DE PATIENTS, PF/SPK(H), 12.11.2014