Toute la merde médicale aux ordures
parce que personne n’en veut plus
Au début de l’été 2009 : la classe de médecins
internationale, ce fléau de l’humanité, a proclamé encore une fois une pandemie mondiale. L‘alarmisme terroriste du salut (HEIL) par la doctature : Qui ne se fait pas vacciner, devrait s’attendre à une maladie grave et de longue durée et au mort.Maintenant, novembre 2011, le vaccin a été brûlé, personne ne le veut pas, personne dans le monde entier. Pratiquement personne s’était fait vacciner.
Qu’est-ce qui s’est passé?
La stratégie du choc, la terreur thérapeutique, s’était évanouie sans aucun effet, les spectres du salut (HEILsgespenster) ne pouvaient faire peur à personne. Les gens connaissaient la formule du bannissement :
Les médecins, oú que vous les rencontriez / il faut les attaquer
Ça a activé énormement la défense. Cette formule magique vitale était appliquée et était efficace en masse dans le monde entier. Grâce au SPK, justement 40 ans fort! Grâce à la classe de patients internationale!
Donc ce n’étaient pas des "informations critiques" quelconques, consultables sur Internet, qui ont produit cette défaite de la classe de médecins, comme la directrice de l’OMS s’est déplorée.
Seulement confrontation est information.
"Élucidation", "révélation" et "critique" depuis longtemps ont été prévues et domestiquées comme le sel dans la soupe de la pseudo-démocratie, faciles à consummer, elles n'attaquent personne ni balayaient aucun médecin.
La confiance en les médecins est foutue et c'est par conséquence et comme résultat de la confrontation. Confrontation contre les médecins et rester ensemble en solidarité, c'est ce qui importe. Le monopole de pouvoir des médecins dépend de la confiance du patient dans le médecin. C'est le talon d'Achille de la classe de médecins : la confiance des gens. D'être acceptée de l'ensemble de la société en tout cas et de tous, c'est le nerf vital de la iatrocratie.
Déjà la cognée lui est mise à leur racine, depuis le début du SPK et de plus en plus jusqu'aujourd'hui.
Il n'y avait jamais une épidémie, jamais une pandémie. Déjà en 2007, bien 2 ans avant, la classe de médecins avait pressé les gouvernements du monde entier d'acheter quelque merde médicale (nommé "vaccin", déchets toxiques d'après sa composition, substances létales selon ses effets). En ce temps-là, il s’en fallait beaucoup qu’on parlait de la "grippe porcine". Un alarmisme mis en scène par la doctature, pour contenir la population, rien d'autre! Thérapisme = terrorisme. Du point de vue pénal : tentative d'assassinat à l'échelle mondiale, constitution des bandes terroristes, guerre contre les compatriotes.
"Profits de plusieurs milliards pour l'industrie pharmaceutique"? Oui, il y en avait. Mais avec cela on se distrait de la classe de médecins.
Attention :
pas de recherches scientifiques sans les médecins
pas d'autorisation des substances actives sans les médecins
pas d'administration de celles-ci sans les médecins
pas d'alerte à la pandémie sans les médecins
Les médecins ont le commandement.
Confrontation contre les médecins et pour la maladie, c'est ce qui importe.
Seulement celui qui est pour la maladie et pas contre, peut rompre l’anathème que les médecins frappent au nom du HEILsalut. Tout dépend de l'illusion de "santé" – quelque chose qui n'a jamais existé et n'existera jamais, à moins que comme produit illusoire duquel croît le nazisme sous toutes ses formes anciennes et futures (HEILwesen).
De plus en plus il y a des groupes, composés des forces specifiques de la maladie, qui développent une vraie in-dividuation (des collectifs EMF, EMF = expansionnisme multi-focal). C'est la vraie contagion, le vrai incendie, la vraie inflammation, la traînée de poudre enflammée, la fête de la maladie insurrectionnelle de la pathopratique révolutionnaire!
Utilisez vos propres expériences avec la maladie et transformez la fantaisie en action!
Toute la merde médicale aux ordures, parce que personne n’en veut plus! On continue!
PF/SPK(H), 6 décembre 2011